La châtaigne et le marron sont deux fruits d’automne que l’on peut retrouver sur le sol de nos forêts un peu partout en France.
Malheureusement, ces deux fruits sont assez souvent confondus, ce qui est dangereux lorsque c’est le moment de passer à table et de les consommer.
La châtaigne est récoltée entre septembre et novembre pour diverses raisons : pour être Cuisiné, faire des activités pour enfant, des jeux entre copains, …
Je vous propose donc de faire le tour de la question afin de profiter pleinement et sereinement de ce fruit de saison et de tout le plaisir qui nous est offert à cette saison déguster la châtaigne.
Pourquoi la châtaigne et le marron sont-ils aussi souvent confondus ?
Ils sont souvent d’abord confondus en raison de l’abus de langage que nous faisons à chaque fois que nous parlons de
- Crème de marrons
- Dinde aux marrons
- Marrons glacés
- Marrons chauds
En réalité, lorsque vous consommez de tels repas, vous n’êtes pas en train d’ingérer des marrons mais des châtaignes !
Pourtant, je vous confirme que le fruit du châtaignier est bien la châtaigne et le fruit du marronnier, le marron.
Le « marron » ici utilisé est issu d’une variété de châtaignier greffé pour la culture. Ses bogues ne contiennent qu’un seul fruit en général contrairement à la châtaigne sauvage qui a une bogue qui renferme plusieurs fruits donc plusieurs châtaignes.
Faisons un peu d’histoire pour comprendre pourquoi on appelle en cuisine la châtaigne, le marron?
Au moyen-âge, le châtaignier est surnommé « l’arbre à pain » tant sa composition est proche de celle des céréales. Il est l’arbre de la providence en cas de famine : bois d’œuvre et de chauffage, tanin pour les cuirs, et bien sûr la châtaigne consommée en fruit, en farine ou séchée. C’était donc la nourriture du pauvre !
Les châtaignes abimées étaient ensuite données au cochon pour les nourrir. Jusque là rien de particulier me direz-vous mais lisez la suite de ce retour dans le temps. Les chefs cuisiniers de l’époque qui servaient à la cour ont fini par amener sur la table de la haute-bourgeoisie la châtaigne et toutes ses saveurs. Mais là, le roi, les princes, les princesses, les comtes, les ducs, … ont hurlé quand ils ont su qu’ils mangeaient le repas du pauvre. Il est alors venu l’idée de changer le nom de la châtaigne en l’appelant « marron » puisque nos voisins italiens utilisaient le mot « marrone » pour décrire la châtaigne.
Quels sont les dangers à se tromper ?
A titre d’informations, sur toutes les intoxications digestives recensées par les centres antipoison, celles causées par cette confusion entre le marron et la châtaigne représentent 11%. Il faut donc prendre toutes les précautions dans le ramassage de ces petits fruits à la couleur marron.
Il est difficile de s’imaginer qu’une erreur qui paraît aussi simple puisse causer des dégâts. Et pourtant !
Pour faire simple, il faut se dire que les châtaignes sont comestibles et que les marrons sont toxiques. Ces derniers peuvent entraîner des troubles digestifs comme des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements, des irritations de la gorge, … Ces troubles peuvent être bénins pour un corps en bonne santé mais peuvent entraîner de graves complications en cas de maladie connue ou non connue de la personne qui les ingère.
Venons-en au fait, dans la partie suivante avec les moyens à notre disposition pour bien différencier le marron de la châtaigne.
Comment différencier la châtaigne du marron ?
La BOGUE
La BOGUE est l’enveloppe qui entoure les fruits. C’est le premier signe et le plus simple pour différencier la châtaigne du marron.
Le châtaignier possède des bogues recouvertes de très très nombreuses longues épines, il n’y a pas de place entre chaque aiguille, c’est comme un mini hérisson ou un oursin.
A contrario, la bogue du marronnier possède de courtes épines espacées les uns des autres. Elles sont aussi beaucoup moins piquantes que celles du châtaignier.
Les FRUITS
La bogue du châtaignier contient 2 à 3 fruits alors que la bogue du marronnier n’en contient majoritairement qu’un seul gros.
Les châtaignes sont plus petites que les marrons et surtout, elles ne sont pas rondes comme le sont de leur côté les marrons. Les châtaignes ont plutôt une forme triangulaire et sont aplaties sur les côtés.
La châtaigne a la caractéristique de posséder comme des petits poils sur le dessus du fruit, comme une « houpette » qui s’appelle la torche. Le marron lui n’en possède pas.
Les FEUILLES
Le châtaignier a des feuilles dentées au pétiole court insérées directement sur la branche.
Le marronnier a lui des grandes feuilles palmées avec plusieurs folioles finement dentelées regroupées en un point (un peu comme les doigts de la main sont connectés en un point, la main).
Le lieu peut aussi être un moyen de distinguer les deux arbres. D’une manière générale, le marronnier est principalement présent dans les villes (les parcs, les écoles, les allées, …) alors que le châtaignier est lui majoritairement présent dans les bois, forêts ou vergers.
Précautions à prendre pour ne pas se tromper en balade ?
Ne ramasser que les fruits encore dans les bogues ouvertes.
Ne pas se précipiter lors du ramassage, vérifier le sol de manière à être sûr d’identifier les arbres présents dans le périmètre.
A emmener IMPERATIVEMENT lors de vos sorties à la châtaigne !
Il ne faut pas se le cacher, une sortie à la châtaigne nécessite une tenue adaptée. Pourquoi ? Parce qu’il pleut des châtaignes ! Et comme le dirait Astérix :
Le ciel nous tombe sur la tête !
Astérix le Gaulois
Et croyez moi, une châtaigne ou une bogue sur la tête, ça crée un bel oeuf ! Il faut donc prévoir de quoi se couvrir la tête pour amortir le choc. Je préconise une casquette, un chapeau ou un bonnet bien épais.
Quelque soit le temps, la météo, prévoyez ce moyen de protection car il vente ou pas, les châtaignes pleuvent en forêt à la belle saison !
Un autre accessoire bien utile à emmener : les gants. Car ôter les châtaignes de leur bogue est un sport épineux car ça pique aux doigts ! Les gants facilitent vraiment le ramassage et en plus, ça permet aux enfants de participer !
Et bien sûr, n’oubliez pas de quoi transporter vos petits trésors !
Quelques variétés de châtaignes
Il existe plus de 700 variétés de châtaignes et marrons
. Les plus connues sont les suivantes :
– la Montagne : gros fruit de forme plate et de maturité semi tardive, de couleur brune très brillante, elle se trouve dans le Lot-et-Garonne et dans le sud de la Dordogne.
– la Roussette : de faible calibre, elle se trouve en Ardèche et dans les Cévennes. Sa chaise est onctueuse et sucrée.
– la Bernarde des Vans : de couleur claire et striée, sa chair est très blanche et d’une belle saveur.
– la Belle Epine : gros fruits de forme plats et anguleux, de couleur acajou foncé, de maturité semi-tardive. Elle se trouve en Ardèche, dans les Cévennes et dans le Périgord.
– la Bouche de Bétizac : gros fruit de forme plate et de maturité précoce, elle se trouve dans les zones de faible altitude du sud-ouest et du sud-est de la France.
Les qualités nutritionnelles de la châtaigne
Sa valeur nutritive est supérieure à celle des céréales. Exceptionnellement riche en sucres lents (glucides) qui libèrent progressivement leur énergie dans le sang, elle évite le petit « creux à l’estomac » qui pousse à grignoter n’importe quoi entre les repas.
Ses lipides (acides gras insaturés) favorisent la prévention des maladies cardio-vasculaires puisqu’ils chassent le mauvais cholestérol. De plus, ses modes habituels de préparation (grillée ou cuite à la vapeur ou à l’eau) évitent l’utilisation de matières grasses.
Riche en potassium (système nerveux, fonction musculaire, pression sanguine) et magnésium (réduction de la fatigue, contraction musculaire, synthèse des protéines, santé des os et des dents), elle aide à lutter contre le stress et la fatigue. Elle apporte également des quantités appréciables de calcium et de fer, ainsi que de nombreux oligo-éléments (manganèse, cuivre, zinc). Elle contient beaucoup de vitamines E, B (B9 pour le renouvellement cellulaire, très intéressant pour les femmes enceintes pour le développement du fœtus, et chez les enfants en croissance, ainsi que pour les personnes convalescentes) et autant de vitamine C que le citron.
Très nourrissante, et digeste grâce aux fibres qu’elle contient.
La châtaigne est donc une vraie bombe énergétique ! Elle peut redonner du tonus aux convalescents et aux personnes âgées et tenir lieu de plat de résistance pour les travailleurs de force et les sportifs.
Composition pour 100 g de châtaignes crues
Protéines 3 g
Glucides 36 g
Lipides 2,7 g
Lipides 6 g
Apport énergétique 180 kcal en moyenne
Châtaigne grillée : 236 calories
Châtaigne cuite à l’eau : 124 calories
Avant de penser à consommer la châtaigne, petit focus sur les allergies possibles ?
La farine de châtaigne est au contraire une excellente alternative car elle permet de répondre habilement à plusieurs allergies que nous rencontrons de plus en plus dans le monde actuel. En effet, c’est la châtaigne et donc sa farine sont sans gluten, elles sont adaptées aux personnes cœliaques, intolérantes au gluten ou souhaitant tout simplement réduire le gluten de leur alimentation.
En ce qui concerne la farine, elle substitut la farine de blé dans les recettes de pâtisserie, et s’accorde avec d’autres farines comme celles de riz ou d’épeautre. Elle ne contient pas de lait, de lactoses et d’œufs, trois ingrédients parfois allergènes.
La châtaigne et ses dérivés peuvent donc devenir de véritables alliés au quotidien !
Comment préparer la châtaigne ?
Avant d’entreprendre la préparation de vos châtaignes, je vous suggère de les plonger dans l’eau et de jeter celles qui flottent car elles seront sans doute piquées par des vers.
Pour les consommer, il faut retirer bien sûr la bogue, la coque dure et la peau marron. Pour ôter les deux, il faut les inciser avec un couteau en dessinant une croix sur le côté bombé de la châtaigne et ensuite la faire cuire. Vous avez aussi la possibilité de les congelez une fois incisées et avant de les cuire. La différence de température permet d’enlever facilement les deux couches. Les plus anciens diront qu’il suffit de les plonger toute une nuit dans de l’eau ou du lait après avoir ôté la coque dure.
Les châtaignes se consomment après avoir été cuites, dans l’eau bouillante ou directement dans la cheminée, dans une poêle dotée de trous. Il est possible de les sécher et là elles se conservent pendant des mois, ou alors, vous pouvez les transformer en farine pour préparer de succulentes recettes à base de cet ingrédient, la farine de châtaigne.
Quelques façons de cuisiner la châtaigne :
Les châtaignes grillées au four
Voici la recette ultrasimple à essayer si vous ne l’avez pas encore goûtée, c’est un vrai régal !
- Préchauffez le four à 220 °C (thermostat 7-8) ;
- Incisez les écorces des châtaignes comme nous l’avez vu un peu plus haut ;
- Disposez-les sur votre plaque de cuisson ;
- Enfournez-les pendant 20 minutes environ. Je teste toujours un peu avant pour être sûr qu’elles ne deviennent pas dures comme du bois ;
- Enlevez la coque dure et la peau sans vous brûlez car c’est vraiment très chaud ! Plus les deux peaux sont enlevées vites, plus c’est simple. Lorsqu’elles refroidissent, l’opération se complique. Pour faciliter l’épluchage, vous pouvez rouler les châtaignes dans un torchon en exerçant une pression pour faire craquer les deux couches ;
- Dernière étape et non des moindres : Dégustez !
Les châtaignes à l’eau
- Faites bouillir de l’eau salée dans une grande casserole.
- Incisez l’écorce des châtaignes comme vu précédemment.
- Ajoutez les châtaignes dans l’eau.
- Laissez cuire à ébullition pendant 30 minutes.
- Les châtaignes sont assez cuites lorsqu’elles sont fondantes, farineuses, et s’épluchent facilement.
- Enlevez l’écorce.
- Dégustez !
Les châtaignes à la poêle
Cette cuisson présente l’énorme avantage de venir apporter un peu de nature dans la maison. Elle crée une ambiance nature grâce à ce doux parfum que laisse dans l’air une châtaigne grillée. Vous savez celle que vous pouvez sentir dans les rues des grandes villes quand des vendeurs à la sauvette les font griller sur les flammes ? Eh ben c’est la même odeur avec la cuisson à la poêle ! On parle d’ailleurs de cette technique au feu de bois un peu plus bas dans la partie « Les châtaignes au feu de bois ».
- Incisez les châtaignes.
- Faites chauffer la poêle à feu vif.
- Lorsqu’elle est bien chaude, déposez-y les châtaignes.
- Faites griller pendant 2 à 3 minutes en remuant de temps en temps.
- À feu doux, laissez cuire 12 minutes supplémentaires.
- Continuez de remuer pour que les châtaignes grillent sans brûler.
- Elles sont cuites lorsque l’incision au couteau s’agrandit.
- Épluchez-les.
- Dégustez-les tièdes ou chaudes mais sans vous brûler bien sûr !
Les châtaignes à la vapeur
- Incisez les châtaignes.
- Dans un autocuiseur ou une casserole, versez 1 litre d’eau.
- Ajoutez le panier vapeur puis remplissez-le avec les châtaignes.
- Laissez cuire pendant 5 minutes environ. Vérifier la cuisson en piquant les châtaignes avec la pointe d’un couteau
- Épluchez les châtaignes et dégustez-les tièdes ou chaudes !
Les châtaignes au feu de bois
C’est la recette par excellence ! Celle qui permet aux familles de se retrouver auprès du feu, celle qui permet de parfumer l’air du parfum de la châtaigne grillée, celle qui remonte à la nuit des temps et en quelques sortes la plus simple à faire car vous pouvez en faire partout : la cuisine au feu de bois ! Voici la recette :
- Incisez les châtaignes.
- Étalez-les dans une poêle à trous sur une seule couche.
- Posez la poêle sur les braises.
- Faites-les cuire 25 minutes environ.
- Remuez régulièrement.
- Posez-les dans un torchon puis épluchez-les.
- Dégustez les châtaignes tièdes ou chaudes !
Quelques idées de recettes à base de châtaigne qu’il faut avoir goûtées !
- Crème de marron ou confiture de châtaigne
- Crêpes à la farine de châtaigne
- Purée de châtaignes
- Velouté de potimarron aux châtaignes
- Lait aux châtaignes et à la vanille
- Pain à la farine de châtaigne
Que faire en cas d’intoxication ?
Par mégarde, vous avez mangé un marron au lieu d’une châtaigne ?
Conservez les restes de repas ou une photographie de la récolte pour faciliter l’identification en cas d’intoxication.
En cas de troubles digestifs, irritation de la gorge, vomissements… Appelez un Centre Antipoison ou consultez un médecin.
En cas d’urgence médicale, appelez le 15, le 112 ou allez directement au service d’Urgences le plus proche de chez vous.
Et si nous en faisions un jeu !
- Quelques marrons ou châtaignes + quelques bâtonnets en bois type cure-dent pour imaginer tous les animaux ou personnages de votre choix. Les marrons deviennent des têtes, des corps, des pieds, des pattes, …
N’hésitez pas à mettre à disposition des enfants des crayons de couleurs type Posca ou encore des petits yeux en plastique qu’ils pourront coller sur les marrons pour encore plus d’idées folles.
- Vous connaissez le jeu du morpion ? Les marrons ou châtaignes peuvent devenir les croix ou les cercles en dessinant dessus les symboles de votre choix.
- Vous pourrez aussi jouer au base-ball avec ces beaux fruits et un bon morceau de bois. Attention aux fenêtres et aux autres ! Prudence lorsqu’on joue à ça !
- Quelques boîtes de conserve vous permettront de mettre en place un chamboule tout
- Je vous laisse aussi imaginer un jeu de basket ou autres activités de jeux de cible avec vos chères petites têtes blondes.
N’hésitez pas à nous envoyer vos créations, nous nous ferons un plaisir de mettre en place un mur d’image avec toutes vos idées.
Etes-vous maintenant incollable sur la châtaigne et le marron ?
A vous de jouer ! Marron ou Châtaigne ? Nous attendons vos réponses en commentaire :
1.
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3.
En synthèse
J’espère qu’avec cet article vous êtes maintenant incollable sur la châtaigne et que vous prendrez plaisir à la déguster ou à jouer avec.
Châtaigne | Marron (d’Inde) | |
Arbre | Fruit du châtaignier (Castanea sativa) | Fruit du marronnier (Aesculus hippocastanum) |
Comestible ou pas ? | Comestible | Toxique |
Fleurs | Unisexuées | Hermaphrodites |
Aspect de la bogue | Bogue, hérissée de nombreux et longs piquants Comme un hérisson ou un oursin | Bogue épaisse, pourvue de petits pics espacés et courts |
Nombre de fruits par bogue | 2 à 3 cloisonnés | 1 voire 2 de temps en temps |
Aspect du fruit | Petit, aplati et triangulaire Petite « houpette » (poils) sur le dessus | Gros et arrondi Absence de « houpette » |
Intérieur du fruit | Chair farineuse et blanchâtre | Chair blanche |
Je suis ravie de découvrir ce blog, et cet article qui tombe pile à temps, car nous nous demandions justement ce week-end avec les enfants comment différencier la châtaigne du marron ! Merci, nous pourrons donc partir à la recherche de châtaignes pendant les vacances !!!
Et encore mieux, nous avons maintenant plein d’astuces et d’idées sur comment les déguster !
Un grand merci pour cet article très complet !!!
Merci beaucoup pour votre retour ! J’espère que vous prendrez autant de plaisir que nous à ramasser les châtaignes et à jouer avec les marrons. Des idées d’activités à faire avec les enfants à venir sur notre insta cette semaine.
Merci pour cet article complet et vraiment super !
Je rajouterai le conseil du port des bottes car les piquants dans les baskets ouille ouille ouille 😁!
Je vais partager cet article à tous mes amis gourmands 👍.
Merci
Merci à vous ! Je prends note pour les bottes ! Comme on sort en chaussures de randonnée ou en grosses chaussures pour moi, nous n’avons pas eu le souci mais je rajoute à la liste. Merci beaucoup !
Super article, vraiment très complet !
Nous discutions justement au repas hier comment différentier marrons et châtaignes et j’ai constaté qu’il y avait encore des confusions sur les fameuses « crème de marron » et « marrons glacés »… Cet abus de langage est assez désastreux :-/
Merci pour les suggestions de recettes car même si je fais déjà plusieurs préparation, ça donne de nouvelles idées 🙂
Merci aussi pour les différentes façons de les préparer car il est vrai que c’est particulièrement fastidieux ! et toute nouvelle astuce pour faciliter cette étape est bonne à prendre et à tester 🙂
Merci merci ! Je suis ravi que cet article puisse servir. Il s’agit d’un sujet qui semble tout simple car évident pour beaucoup mais les confusions existent malheureusement.
merci pour cet article et ces délicieuses recettes.
Merci à vous ! Profitez-en bien, c’est la période idéale !
Bonjour,
Justement on se posait la question ce week-end. Merci beaucoup pour cet article très complet et instructif, nous sommes donc parés pour la chasse aux châtaignes !
Super ! C’est le moment pour y aller et profiter de tous les bienfaits de la châtaigne. On peut même faire les écureuils et en stocker pour l’hiver !
J’ai jamais réussi à faire la différence entre les deux. Il faut dire que nos « défauts » de langage n’aident pas à savoir si c’est la châtaigne ou le marron qui est bon à manger. Cet article, très complet, m’aide maintenant a bien les différencier.
Merci beaucoup ! J’espère que vous vous sentirez plus sereine sur le terrain. A venir, une carte de synthèse à glisser dans la poche pour être au TOP sur le terrain !
Ça faisait un bon moment que je cherchais un article aussi complet sur la question! Merci beaucoup!
Oh c’est gentil ! Merci à vous pour ce retour encourageant !
Merci pour cet article ultra complet! En le lisant, le goût des châtaignes au feu de bois accompagnées de compote de pommes maison me revient et me donne l’eau à la bouche… Malheureusement, pas de châtaigners au Québec…Je découvre votre blog avec grand plaisir! Merci encore!
Merci beaucoup ! Oh quel dommage de ne pas avoir de châtaignier ! Mais bon, vous avez d’autres arbres que nous n’avons pas chez nous donc j’aimerais bien récolter le « sirop » 🙂.
1 et 3 châtaigne et 2 marron. Tout près de chez nous, nous avons une forêt de châtaigners donc nous sommes habitués à les distinguer. En revanche, pour le reste, j’ai appris beaucoup de choses et j’en suis ravie !
Merci pour cet article tellement complet
Merci pour votre retour ! Je suis ravi de savoir que ça peut aider.
En parlant des abus de langages, mon fils m’a justement dit l’autre jour : « Mais pourquoi on fait la crème de marrons avec des châtaignes ? C’est pas logique ! » 😅
Il y a peu de chataigners dans la Drôme, mais l’Ardèche n’est pas loin. Ici, on les fait cuire à l’eau, on les coupe en deux et on ramasse la chair avec une petite cuillère, c’est le plus rapide !
Merci pour cette astuce ! Eh oui ! Malheureusement pas de logique dans tout ça, c’est un peu le principe de la langue française : rendre les choses compliquées là où elle pourrait être simples ! 🙂
Merci pour cet article très complet et les jolies photos. Je connais bien les chataignes, et aussi les marrons (je ramasse les marrons tous les automnes pour « faire du ménage » dehors). C’est très intéressant d’avoir l’histoire d’origine de pourquoi on dit « marrons » au lieu de « chataignes ».
Merci beaucoup ! Profitez-en bien !
Excellent article sur un sujet récurrent dès que l’automne arrive ! Il me sera très utile pour aborder la question avec les enfants lors de nos sorties « école-forêt » ! Un grand merci !
Merci à vous ! C’est génial de pouvoir animer de telles sorties ! Je pense que j’aimerais bien aussi !
Je ne savais pas qu’on pouvait les faire d’autant de façons différentes !
C’est vraiment un fruit d’automne incroyable et une belle ressource alimentaire ! Profitez-en bien !
Bonjour,
J’avais déjà entendu la différence, mais je ne me rappelais pas du tout comment et qui était quoi. Merci pour ce rappel et les explications !
Je vais enfin savoir ce que je ramasse !!! 🙂
Mais pour quelle raison avons-nous fait des marrons ?
Avec plaisir !!!!! Profitez-en bien à l’automne prochain !!!!